Congrès de la FNPL - Richard BOURBON au nom de la Champagne Ardenne
Intervention de la FRPL aux Sables d’Olonne
C’est le Président de la FDPL de Haute Marne, Richard Bourbon, qui est intervenu au nom de la région Champagne Ardenne, se faisant le porte paroles des producteurs des 4 départements sur la base des décisions arrêtées précédemment au cours d’une réunion de la FRPL.
Entre autres sujets son propos traita bien sûr de la FCO demandant, «en l’absence de moyens financiers suffisant et malgré nos scrupules au regard de la nécessité de maîtriser les volumes, le renouvellement de la franchise sur les pénalités pour dépassement».
En matière de quotas, évoquant les sociétés laitières, la FRPL «confirme qu’il y a urgence à identifier les freins et à les desserrer» afin «que les contraintes administratives n’en dégoûtent pas les candidats».
Toujours concernant les réunions d’exploitations, sous la forme de GAEC cette fois, la Région souhaite «la possibilité d’une période de fiançailles d’un an qui éviterait sans doute nombre de divorces aussi coûteux que traumatisant».
Enfin se demanda, la FRPL, comment ne pas parler du prix à un Congrès de la FNPL ? avant de «féliciter la FNPL pour avoir réussi le chalenge de contenir la baisse du prix dans les limites de l’ADL» mais lui demandant «aussi de ne pas oublier ce qui se passe sur le terrain et l’attitude de certains grands groupes qui s’autorisent à peu près tout, sans le moindre respect des producteurs, ramenant la baisse au niveau, voire au-delà de l’ADL».
Autre point fort de l’intervention de la Région, sa prise de position favorable à la mise en place d’un fonds d’investissements afin de ne pas subir le marché mais de l’orienter autant que possible, «considérant que l’amélioration de la valorisation des PGC et celle du rapport de force producteurs-transformateurs, donc d’un meilleur partage de la valeur ajoutée, passe par là».
Entre autres sujets son propos traita bien sûr de la FCO demandant, «en l’absence de moyens financiers suffisant et malgré nos scrupules au regard de la nécessité de maîtriser les volumes, le renouvellement de la franchise sur les pénalités pour dépassement».
En matière de quotas, évoquant les sociétés laitières, la FRPL «confirme qu’il y a urgence à identifier les freins et à les desserrer» afin «que les contraintes administratives n’en dégoûtent pas les candidats».
Toujours concernant les réunions d’exploitations, sous la forme de GAEC cette fois, la Région souhaite «la possibilité d’une période de fiançailles d’un an qui éviterait sans doute nombre de divorces aussi coûteux que traumatisant».
Enfin se demanda, la FRPL, comment ne pas parler du prix à un Congrès de la FNPL ? avant de «féliciter la FNPL pour avoir réussi le chalenge de contenir la baisse du prix dans les limites de l’ADL» mais lui demandant «aussi de ne pas oublier ce qui se passe sur le terrain et l’attitude de certains grands groupes qui s’autorisent à peu près tout, sans le moindre respect des producteurs, ramenant la baisse au niveau, voire au-delà de l’ADL».
Autre point fort de l’intervention de la Région, sa prise de position favorable à la mise en place d’un fonds d’investissements afin de ne pas subir le marché mais de l’orienter autant que possible, «considérant que l’amélioration de la valorisation des PGC et celle du rapport de force producteurs-transformateurs, donc d’un meilleur partage de la valeur ajoutée, passe par là».